Le président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló n’est plus libre de ses mouvements. Il est depuis peu, aux mains des militaires, selon une source sécuritaire.
Les évènements militaires qui ont démarré cet après midi, dans le centre-ville de la capitale de la Guinée-Bissau, ont conduit à la détention du président Umaro Sissoco Embaló par des militaires. Par ailleurs, d’autres sources annoncent que le président a été conduit au Palais présidentiel et s’apprêterait à s’adresser au peuple. De toutes les façons, jusqu’à l’heure où nous mettons sous presse, nul ne sait avec exactitude là où il se trouve.
Le chef de l’Etat présidait la séance du Conseil des ministres lorsque les coups de feu ont commencé par se faire entendre. Pour l’heure, l’identité des militaires qui sont parvenus à exfiltrer le président reste inconnue, ainsi que leurs motivations. A l’internationale, on appelle les militaires à retourner dans les casernes. La CEDEAO et l’ONU disent être préoccupées par la situation actuelle du pays et tiennent responsables les militaires de l’intégrité physique du chef de l’Etat ainsi que celle de tous les membres de son gouvernement.
L’instabilité politique sévit en Guinée-Bissau depuis des décennies, avec neuf coups d’État ou tentatives de coup d’État depuis l’indépendance du Portugal en 1974.
Donc comme sa des gens ( militaires ) considèrent qu’un président démocratiquement élu ne fait pas bien son boulot et se mettent ensemble pour aller l’arrêter. Alors la , Sa commence à devenir du grand n’importe quoi.
Non ce n’est pas ce que vous pensez ! C’est lorsqu’un président même élu démocratiquement (Alpha Condé, Roch Kaboré, etc) deviennent des marionnettes et obéissent à des intérêts obscurs et qui n’a rien à voir avec le bien-être des peuples qui les ont élus! Et les militaires ont le droit d’intervenir pour stopper l’irréparable car on veut des hommes intègres et incorruptibles pour doter nos pays d’institutions fortes!