Le leader du parti PASTEF-Les Patriotes, Ousmane SONKO, est introuvable et injoignable depuis plusieurs heures, suscitant une vive inquiétude au sein de l’opinion nationale et internationale. Le parti dénonce cette situation et met en garde contre toute atteinte à l’intégrité physique du président, prévenant que le président Macky Sall sera tenu pour responsable de tout événement ultérieur. Une mobilisation sans précédent s’organise, avec les militants, sympathisants et citoyens prêts à agir pour faire la lumière sur cette affaire.
La tension est à son comble au Sénégal alors que le président du parti PASTEF-Les Patriotes, Ousmane SONKO, est porté disparu depuis plusieurs heures. Sa disparition soudaine a suscité une grande préoccupation parmi ses partisans, ainsi qu’au sein de la communauté internationale, qui suit de près l’évolution de la situation.
Dans un communiqué officiel, le parti PASTEF-Les Patriotes a fait part de son inquiétude face à cet état de fait et a averti qu’il se réservait le droit de réagir vigoureusement à toute atteinte portée à l’intégrité physique du président Sonko, ainsi qu’à toute mesure d’emprisonnement ou d’assignation à résidence surveillée dont il pourrait être l’objet. Les Patriotes ont également clairement indiqué que le président Macky Sall serait tenu pour responsable de tout ce qui pourrait arriver à leur leader.
Face à cette situation, une mobilisation sans précédent est en train de s’organiser. Les militants, sympathisants et citoyens épris de justice sont invités à se tenir prêts à agir pour faire toute la lumière sur la disparition d’Ousmane Sonko. Les réseaux sociaux se sont enflammés, diffusant des appels à la mobilisation et des messages de soutien envers le président du parti.
Les observateurs politiques craignent que cette situation ne dégénère en une crise politique majeure dans le pays. Ousmane Sonko est une figure de proue de l’opposition sénégalaise et jouit d’un soutien populaire considérable. Chef de file de l’opposition, il fait face à de nombreux procès en cours. Sa disparition risque d’exacerber les tensions déjà existantes entre les partisans de l’opposition et le gouvernement en place.