L’épilogue des ennuis avec la justice ivoirienne n’est pas encore pour tout de suite pour la jeune Diana Blé. Invitée sur une émission de la NCI, elle a fait des troublantes révélations qui pourraient lui coûter chers dans les tout prochains jours, comme le dévoile le communiqué du procureur de la République.
Une émission de la Nouvelle Chaîne Ivoirienne (NCI) à nouveau au cœur d’une polémique, sur la toile. En effet, ce jeudi 09 septembre l’émission « Les Femmes D’Ici » a reçu Diana Blé, la jeune fille impliquée dans l’affaire « Profanation de la tombe de DJ Arafat ». Au cours de son témoignage, elle a laissé entendre avoir rencontré une fillette de 8 ans à la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (Maca), lors de son séjour. A l’en croire, cette dernière avait été incarcérée pour avoir dérobé une modique somme de 3000 F CFA.
Le procureur de la République ivoirienne, Richard Christophe Adou, touché par ces propos de la jeune fille, qui font le chou gras sur la toile depuis le 9 septembre 2021, a fait une sortie ce lundi 13 septembre, pour une mise au point. Il a démenti ces dires de la jeune fille à travers un communiqué. Le procureur a aussi profité du canal pour informer Diana Blé sur la gravité de ses propos, ainsi que les sanctions pénales qu’elle encoure.
Pour rappel, la jeune dame avait été condamnée le 20 septembre 2019 à un an d’emprisonnement par le Tribunal d’Abidjan Plateau dans l’affaire de la « Profanation de la tombe » du feu DJ Arafat. Mais à en croire cette dernière, elle a été condamnée pour avoir fait des commentaires. « Je n’étais pas présente au stade ni au cimetière. Je suis simplement interpelée pour avoir fait des commentaires », s’était défendue la jeune étudiante de CBG.