Le président de la Commission de l’Union Africaine, Moussa Faki, a qualifié l’attaque de l’hôpital Al-Ahli Baptiste à Gaza par Israël de « crime de guerre », déplorant la perte de plus de 500 vies. La condamnation de cette action brutale a suscité un appel pressant à l’action de la communauté internationale pour mettre fin à la violence qui sévit dans la région.
L’attaque israélienne contre l’hôpital Al-Ahli Baptiste à Gaza a provoqué une réaction forte de la part de la Commission de l’Union Africaine, avec son président, Moussa Faki, déclarant que cette attaque était un « crime de guerre ». Dans un communiqué publié mardi soir, Faki a souligné qu’il n’existait pas de mots suffisants pour exprimer la condamnation ferme de cette action qui a causé la mort de centaines de personnes. Le ciblage d’un hôpital, considéré comme un refuge en vertu du droit humanitaire international, est un acte impardonnable.
Moussa Faki a également appelé la communauté internationale à intervenir immédiatement pour mettre fin à cette escalade de violence. Alors que la situation au Moyen-Orient continue de se détériorer, la pression internationale s’intensifie pour trouver une solution pacifique et mettre fin à la souffrance des civils pris au piège de ce conflit meurtrier.
Les informations provenant de Gaza font état de plus de 500 personnes tuées dans la frappe aérienne israélienne sur l’hôpital Al-Ahli Baptiste, avec des images choquantes montrant des corps sans vie éparpillés dans l’enceinte de l’établissement. Un correspondant d’Anadolu a rapporté que des milliers de Palestiniens se trouvaient sur place lorsque l’hôpital a été bombardé, exacerbant la tragédie.
De l’autre côté de la frontière, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a réagi en accusant les factions palestiniennes d’être responsables de cette frappe. Les tensions demeurent élevées, avec Israël poursuivant ses frappes aériennes intensives sur la Bande de Gaza, causant la destruction de quartiers entiers et le décès de milliers de civils palestiniens.