Il coupe régulièrement le courant à  tout le village pour voir sa petite amie en toute discrétion

Afin de pouvoir passer discrètement du temps avec l’amour de sa vie, un électricien mettait tout son village hors tension, ceci régulièrement. Plongé dans l’obscurité chaque soir, alors que les villages voisins étaient éclairés, les habitants ont fini par découvrir le pot aux roses.

« Aimer à la folie, c’est être deux fois fou« , a dit un adage populaire. La preuve est cet homme, de profession électricien, dans le village de Ganeshpur, dans le district de Purnia, au Bihar, État du nord-est de l’Inde.

Selon les faits rapportés par les médias indiens, tout le village de Ganeshpur était perturbé par une panne de courant quotidienne et essayait de comprendre la véritable raison de cette panne. Il a été rapporté que le village entier était plongé dans l’obscurité chaque soir à une certaine heure. Les habitants ont déclaré que les villages voisins n’avaient pas de tels problèmes.

Le fait que l’électricité soit coupée à peu près à la même heure le soir pendant deux ou trois heures a éveillé leurs soupçons. Les villageois de Ganeshpur ont dû creuser profondément pour résoudre le problème et quand ils ont découvert la vraie raison, ils ont été choqués.

Après enquête, les villageois ont découvert que le responsable de cette situation était un électricien du village, qui mettait hors tension tout le village et profité de l’obscurité pour voir sa dulcinée. L’homme connaît d’une manière ou d’une autre toutes les installations électriques du village.

Le couple a été pris en flagrant délit dans une école par plusieurs habitants du village. Selon des témoins, l’électricien a été battu, une partie de ses cheveux a été rasée et il a été obligé de défiler dans les rues du village, en guise de punition.

L’homme a ensuite avoué son crime et les villageois l’ont obligé à épouser son amant lors d’une cérémonie officielle. La seule solution pour lui permettre de jouir du plaisir d’être en couple, sans porter préjudice à tout le village. La police locale affirme avoir été mise au courant de cet événement, mais précise qu’elle n’a reçu aucune plainte officielle.