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Faure Gnassingbé: « nous sommes obligés de travailler avec ceux qui sont aux commandes »

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Le président togolais Faure Gnassingbé, a effectué une visite à son homologue ivoirien Alassane Ouattara et les deux personnalités ont évoqué la question du terrorisme dans le pays.

Se prononçant sur la question du terrorisme en Afrique de l’ouest, le président togolais a invité ses pairs à faire preuve de plus d’audace dans la bataille. Selon lui, « nous avons consacré beaucoup de sommets à ce problème-là et je pense que nous devons tout faire pour éviter l’impasse d’un côté comme de l’autre, sortir des sentiers battus et réagir avec beaucoup plus d’audace et beaucoup plus de solidarité ».

Faure Gnassingbé a également indiqué que « le problème étant difficile et complexe, personne ne peut être sûr qu’il a la vérité ou une science infuse ». Cela suppose selon lui, qu’il y a lieu pour les dirigeants de la région, de scruter d’autres horizons au lieu de rester camper sur une seule méthode de lutte contre un phénomène qui ne semble que grandir.

« La situation est difficile parce que le Mali, la Guinée, le Burkina ou le Niger, sont très proches de nous. Nous sommes les mêmes, les peuples sont beaucoup plus intégrés que les Etats. Je suis sûr que dans nos différents pays, les populations vivent douloureusement ces situations parce que, personnes ne peut rester indifférent à ce qui s’y passe, surtout que cela dur », a déclaré Gnassingbé.

Relativement aux Etats comme le Mali, la Guinée et le Burkina Faso, qui ont tous connu des coups d’Etats, le chef de l’Etat du Togo a souligné que « nous sommes obligés de travailler, de discuter avec ceux qui sont aux commandes en ce moment mais en ayant à l’esprit que ce qui est important c’est la paix, c’est la sécurité. Personne n’a envie que d’autres peuples souffrent de sanctions ». Une allusion faite visiblement au Mali en occurrence, qui a été frappée par des sanctions rudes imposées par la CEDEAO depuis janvier.

« Je sais que nous nous sentons parfois impuissants mais nous ne devons pas céder au désespoir. Nous devons trouver les solutions et j’ai foi que nous allons continuer nos entretiens, les élargir peut-être avec nos paires pour trouver des solutions à ce problème-là », a poursuivi Gnassingbé en terre ivoirienne. « Plutôt nous trouverons des solutions idoines, mieux ça sera pour nous », a martelé Gnassingbé alors que le Togo, le Bénin, le Ghana et la Côte d’Ivoire sont sous menace constante des islamistes.

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