Merveille Acatcha, accusée d’avoir forcé les portes du domicile de son compagnon défunt, Praouda, réfute ces allégations tout en expliquant l’origine de la procédure d’autopsie demandée après le décès de l’artiste.
Dans une série de vidéos publiées les 30 et 31 décembre 2024 sur la page Facebook de Nadège Toyin Djihouan, la jeune femme dément les accusations de ses beaux-frères. Ces derniers l’accusent d’avoir défoncé la porte du domicile de l’artiste et emporté des équipements de son home studio, des faits qu’elle nie catégoriquement.
Merveille Acatcha précise qu’elle entretenait de bonnes relations avec Praouda avant son décès et qu’elle possédait un double des clés de la résidence. Elle affirme n’avoir jamais eu besoin de forcer une porte pour y accéder et assure détenir des preuves vidéo, qu’elle promet de rendre publiques après la fin de la procédure judiciaire.
Concernant l’autopsie, Merveille Acatcha explique qu’elle en est à l’origine et non la famille du défunt. Elle justifie cette démarche par les accusations portées contre elle, selon lesquelles elle aurait « assommé » son compagnon. Or, indique-t-elle, « nous avons été à l’hôpital et on a fait un scanner à mon conjoint. Le scanner n’a révélé aucun coup reçu à sa tête». Merveille Acatcha n’a pas d’enfant, avec l’artiste, a laissé entendre sa mère dans l’une des vidéos.
Praouda, de son vrai nom Éric Romain Hindédji, artiste béninois de musique urbaine, est décédé le 26 décembre 2024 à l’âge de 34 ans. La cause avancée de sa mort est un Accident Vasculaire Cérébral (AVC).