Les élections prochaines sont considérées comme un test important que plusieurs partis politiques de l’opposition prennent avec beaucoup de sérieux. Après avoir enclenché la procédure de création de son parti politique, Iréné Agossa envisage sérieusement travailler avec d’autres forces politiques pour renverser la tendance actuelle.
Travailler à renverser le système implanté par l’actuel locataire de la Marina, c’est le défi que s’est assigné l’ex directeur général de la Sonacop, Iréné Agossa.
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Interrogé la semaine écoulée par « Jeune Afrique« , le colistier de Corentin Kohoué à la dernière élection présidentielle déplore la situation de l’Etat de lois dans lequel se retrouve le pays. « tout fait pour que le parlement soit géré uniquement par sa tendance politique, qui fait passer des lois qui s’imposent à tous sans qu’il soit possible d’entendre un autre son de cloche sur la gestion des affaires publiques », a déploré l’acteur politique lors des échanges avec Jeune Afrique. Pour renverser la situation, Iréné Agossa pense bien que l’opposition doit se donner la main.
Agossa favorable à la création du cadre de concertation de l’opposition
Le président du parti restaurer la confiance, Iréné Agossa est favorable au projet de création d’un cadre de concertation de l’opposition.
Le cadre de l’opposition est un projet porté par le chef de fil de l’opposition, Paul Hounkpè pour permettre à toutes les forces politiques de l’opposition de converger leurs idées afin de faire face au régime actuel.
Ainsi, après Soumanou Toléba et Expérience Téba, Iréné Agossa accepte aussi la main tendue du secrétaire exécutif national de la FCBE afin que les partis d’opposition se mettent ensemble pour faire face au pouvoir en place.