Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a exprimé une vive inquiétude concernant les conditions de détention du président nigérien renversé, Mohamed Bazoum. Exigeant sa libération immédiate, l’ONU dénonce les conditions de vie précaires dans lesquelles Bazoum et sa famille sont retenus.
Mercredi, le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a élevé la voix pour attirer l’attention sur les conditions de détention du président nigérien renversé, Mohamed Bazoum. Dans une déclaration empreinte de préoccupation, Guterres a exhorté les responsables en charge de la détention de Bazoum à le libérer sans délai, mettant en lumière les conditions de vie alarmantes auxquelles le président déchu et sa famille seraient confrontés.
L’ONU a exprimé son indignation face aux conditions de détention déplorables signalées par les proches de Mohamed Bazoum. Bien que les détails spécifiques de ces conditions n’aient pas été divulgués dans le communiqué, l’accent mis sur leur précarité suggère une situation alarmante. La détention de Bazoum, suite au renversement du pouvoir, a suscité des inquiétudes croissantes quant à son traitement et à son bien-être.
La situation au Niger demeure tendue depuis le renversement du président Bazoum. Les appels à la stabilité et à la restauration de l’ordre constitutionnel ont retenti à l’échelle nationale et internationale. La communauté internationale observe de près l’évolution de la situation, avec une attention particulière portée à la détention du président déchu.
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