L’ancienne première dame du coupé-décalé devenue désormais chantre de l’Eternel continue de lever le voile sur les maux qui minent l’univers du showbiz Ivoirien. Invitée ce mardi sur l’émission Showbuz de la NCI, la chantre de Dieu est revenue une fois encore sur son passé.
Claire Bahi faisait partie sans doute du cercle restreint des artistes qui ont propulsé le coupé-décalé à une place de choix. Cependant, après la mort tragique de Dj Arafat, l’homme considéré comme le roi de ce rythme tant apprécié par la jeunesse, celle qui se fait appelée première dame du coupé-décalé a décidé de jeter l’éponge.
En effet, Claire Bahi a choisi de tourner dos au monde profane pour aller se réfugier entre les bras du Seigneur. Depuis qu’elle qu’elle s’est reconvertie en chantre de l’Eternel, la star Ivoirienne n’arrête pas de multiplier les révélations.
Lors de son récent passage sur le plateau de l’émission Showbuz diffusée sur la chaîne de télévision NCI, la désormais chantre de Dieu est revenue sur son ancienne vie d’artiste Coupé-décalé. Elle n’a donc pas manqué de faire une confession sur les pratiques occultes auxquelles font recours certains de ses anciens collègues à la recherche de la gloire et la célébrité.
« J’avais pas confiance en toutes les filles, Vitale y compris. Dans le coupé décaler, il y’a le fétichisme et autres…On m’avait lancé un sort. Si ce n’était pas la prière, j’aurais eu une jambe en moins », a-t-elle révélé.
Par ailleurs, la chanteuse a également abordé la vie luxueuse qu’elle essayait de montrer lorsqu’elle était encore dans le monde profane. « Mon travail d’artiste que je faisais ne pouvait pas payer une voiture de 40 millions. Je louais une voiture et je mettais mon nom sur la plaque, juste pour me faire voir. Le coupé décalé n’est pas facile. Que ma musique marche ou pas, l’essentiel c’est de servir JÉSUS CHRIST…», a-t-elle indiqué.