Le vice-président de la Fédération Béninoise de Football (FBF), Magloire Oké, s’est montré optimiste pour la candidature bénino-nigériane, après la visite de la mission d’inspection de la CAF, qui était lundi aux stades Charles de Gaulle et Général Mathieu Kérékou, dans le cadre de l’attribution de la CAN 2025.
Avec ses collègues de la Fédération béninoise de football, Magloire Oké a servi de guide aux membres de la mission d’inspection de la CAF qui a visité lundi les stades Charles de Gaulle et Général Mathieu Kérékou, dans le cadre de l’attribution de la CAN 2025. Les experts de l’instance faîtière du foot africain sont arrivés au Bénin dans l’après-midi d’hier en provenance du Nigéria. La délégation a passé en revue les installations de ces deux enceintes, mis dans son dossier de candidature par le Bénin qui est en duo avec le Nigéria pour l’organisation de la 35è édition de la Coupe d’Afrique.
Au terme de la visite, le vice-président de la Fédération Béninoise de Football (FBF) a répondu aux questions des journalistes. « C’est une mission de la CAF qui est venue au Nigeria. Ils ont fini avec la Fédération Nigériane de Football et nous les avons accueillis à Kraké (frontière Bénin-Nigéria) pour les emmener faire une mission d’inspection pour voir si nos infrastructures répondent aux normes pour pouvoir accueillir la co-organisation de la CAN 2025 avec le Nigeria », s’est exprimé Magloire Oké dans des propos rapportés par Africa Foot United.
Interrogé sur les chances du Bénin et de son voisin nigérian de décrocher l’organisation de cette grande messe continentale, Magloire Oké reste optimiste mais ne s’emballe pas dans sa réaction. « C’est une mission, c’est des professionnels. Ils sont en train de voir les failles qu’il y a au niveau de nos infrastructures pour que nous puissions les corriger en collaboration avec le Ministère des sports et le gouvernement pour pouvoir corriger tout ce qu’il y a comme imperfections et être aptes pour cette co-organisation de la CAN », a-t-il réagi. Pour rappel, la candidature bénino-nigériane est en concurrence avec celles du Maroc, de l’Algérie et de la Zambie