Dans la commune de Djidja, un photographe a été déposé en prison pour violences conjugales. Le dossier a été géré de main de maître par le Ministère des affaires sociales, de plus en plus intransigeant sur les cas de violences faites aux femmes et de maltraitance des enfants.
Alerté sur un cas de violences conjugales,la Direction départementale en charge des affaires sociales du Zou a pris des dispositions pour faire épingler le présumé auteur. Il s’agit du sieur Joachim, photographe de profession dans l’arrondissement de Sèto.
Selon le récit des faits, la victime, prénommée Marthe, « aurait été molestée par son époux alors qu’elle était en pleine dispute avec sa coépouse, dans la nuit du lundi 24 au mardi 25 avril 2023 », a indiqué le Ministère des affaires sociales.
Poursuivi pour coups et blessures volontaires, le photographe a été déposé en prison et sera jugé le 05 mai 2023. La victime est actuellement prise en charge par les services compétents.