Dans la gestion du drame de Dassa-Zoumè, le gouvernement n’a occulté aucun volet. Le Conseil des ministres de ce mercredi a évoqué l’aspect judiciaire qui sera assuré par le Garde des Sceaux.
Les enquêtes en cours dans le cadre de l’accident mortel survenu à Dassa-Zoumè va aboutir à des poursuites. En conclave hebdomadaire ce mercredi, le Conseil des ministres a instruit « le Garde des Sceaux, ministre de la Justice et de la Législation, pour engager les poursuites appropriées à l’issue des enquêtes en cours ».
Les personnes dont les responsabilités seraient engagées dans ce drame feront donc l’objet de poursuite. Déjà, le Directeur Général de la compagnie de transport Baobab Express et certains de ses collaborateur sont gardés à vue au poste de police certainement pour les besoins de l’enquête.
Sans situer les responsabilités pour le moment, le gouvernement a indiqué que les premiers éléments d’analyse postulent que le conducteur roulait à vive allure au moment de l’accident. Il aurait été même verbalisé par des éléments de la Police républicaine à l’entrée de la ville de Parakou. L’accident est survenu suite à une collision entre le bus qui avait déjà perdu l’un de ses pneus et un camion.
Selon le gouvernement, l’accident a fait 20 morts sur place et 24 blessés. Les rescapés du drame sont pris en charge par un plan de riposte conduit par le ministre de la santé.
Ceci demeure donc un impératif catégorie aux agents de sécurité routière de renforcer le contrôle routier par le respect strict de la vitesse limite aux chauffeurs de bus de transfert car cela met trop en péril les usagers .
On dirait que les conducteurs des bus se droguent avant de prendre le volant il faut que leur employeurs veillent à cela. Il faut aussi plomber les bus