Le premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé mercredi à son tour un « boycottage diplomatique » des Jeux olympiques d’hiver de Pékin, auxquels « aucun ministre » de son gouvernement ne prévoit de se rendre. Il s’agit du quatrième pays, après les Etats-Unis, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, à avoir annoncé un « boycott diplomatique » des Jeux olympiques de Pékin.
Les défections se poursuivent. Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a annoncé, mercredi 8 décembre, un « boycott diplomatique »Â des Jeux olympiques d’hiver de Pékin, auxquels « aucun ministre » de son gouvernement ne prévoit de se rendre.
« Il y aura effectivement un boycott diplomatique des Jeux olympiques d’hiver de Pékin », a-t-il déclaré lors de la séance hebdomadaire de questions au Parlement, soulignant que le boycott sportif n’est « pas la politique » de son gouvernement.
La décision britannique intervient après l’annonce par l’administration américaine de son « boycott diplomatique » au nom de la défense des droits de l’homme. Pékin a rétorqué que « les États-Unis paieront le prix de leur mauvais coup ». L’Australie a elle aussi annoncé qu’elle rejoignait les États-Unis dans le « boycott diplomatique » de ces JO. « Tout le monde s’en fiche », a rétorqué la Chine.